Le fasciste Hani Ramadan devant un tribunal, pas à l'UNESCO !




L'UNESCO, dans sa mission de lutte contre toutes les injustices, a organisé à Paris, dans ses murs, un colloque intitulé "Islam, démocratie, laïcité : des différences irréconciliables ?". De façon ahurissante, l'UNESCO a osé inviter le sinistre Hani Ramadan dont on sait qu'il est partisan de la lapidation des femmes. Les organisateurs du colloque ont-ils perdu la tête ? Ou ont-ils reçu, précisément, des menaces de lapidation si le fasciste genevois n'était pas convié à ces débats sanglants ?

Devant la force des protestations, les organisateurs ont été contraints in extremis à annuler la venue du barbu. Sous l'impulsion de Chahdortt Djavann, une manifestation de protestation a rassemblé plus d'une centaine de personnes devant l'entrée de l'UNESCO le 18 janvier 2004 pour, d'une part, se féliciter de l'annulation de son déplacement et, d'autre part, réclamer que Ramadan soit traduit devant un tribunal pour ses encouragements au meurtre. Aucun individu doué de raison ne peut traiter placidement avec un fasciste de cette espèce pour qui la femme, en tant que sujet inférieur à l'homme, ne peut être guérie de sa nocivité intrinsèque que par des procédés brutaux pouvant aller jusqu'à l'assassinat par jet de pierre. Ceux qui s'abandonnent à discuter avec Hani Ramadan, loin de faire preuve de tolérance, s'inscrivent plutôt dans le long processus d'abdication devant l'intimidation par le fanatisme musulman. C'est ainsi qu'on voit certains anciens défenseurs de la laïcité et des libertés individuelles se coucher devant les lapidateurs pour mieux recevoir la première pierre. Discuter avec Hani Ramadan est comme discuter avec Hitler a déclaré Chahdortt Djavann. Tariq Ramadan, le très hypocrite frère de Hani, n'est pas plus recommandable, obéissant l'un comme l'autre à une logique fasciste.


21 janvier 2004


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