La Conférence mondiale des femmes à Pékin




Lors de l'élaboration du texte final par les 181 pays participants en septembre 1995, des réticences ont été émises par une quarantaine de nations pour des raisons religieuses, le Vatican et l'Iran en tête. C'est donc une alliance intégriste entre catholiques et musulmans qui s'est établie, motivée par des réserves sur (1) le droit des femmes à contrôler leur sexualité, (2) la non-condamnation des femmes ayant avorté dans des pays où cette pratique est interdite, (3) le droit à l'héritage. Une fois de plus les religions au pouvoir auront montré le frein qu'elles représentent à l'amélioration de la condition humaine.



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