Quand la République s'affichait sur les façades des églises
1. Origines historiques
Quand on remarque une inscription républicaine sur la façade d'une église, on est généralement stupéfait de tant de hardiesse, persuadé que ces cas sont exceptionnels. En fait, il n'en est rien et les églises qui subissent (avec douleur) les inscriptions "République Française" et "Liberté Égalité Fraternité" ne sont pas si rares.
La mise au pas de la cléricanaille fut engagée sous la Révolution, poursuivie pendant la Commune et affirmée durablement dans le marbre de la loi par la Troisième République. La Constitution civile du clergé de 1791 en a été une étape fondatrice en imposant aux sombres émissaires du Vatican le respect des principes de la République ; les prêtres se sont alors répartis entre les jureurs et les réfractaires.
De l'époque, un siècle plus tard, où la République imposa à l'Église catholique qu'elle courbe l'échine devant le triptyque "Liberté, égalité, fraternité", il reste quelques souvenirs encore inscrits aux façades de certaines églises. Qu'elles soient effacées et difficilement discernables ou maintenues en très bon état pour mieux en assurer la lecture, ces marques républicaines rappellent incidemment qu'une religion n'adhère aux principes de liberté, d'égalité et de fraternité (comme de sororité) que sous la contrainte et en contradiction totale avec les textes dits sacrés, dans lesquels on chercherait en vain une ébauche de liberté individuelle ou un soupçon d'égalité avec, par exemple, les non croyants ou entre les hommes et les femmes. Si cette subordination de l'institution catholique à l'État peut apparaître comme liberticide, lui laisser une entière liberté aurait été l'autoriser à renouer avec son histoire et ses fondements totalitaires.
C'est en février 1848 que la Seconde République décide officiellement que la formule "Liberté Égalité Fraternité" sera sa devise. Après une longue éclipse sous le Second Empire, elle sera reprise par la Troisième République et subira une nouvelle interruption sous le gouvernement de Pétain. Les trois termes qui la composent étaient déjà apparus de façon variée pendant la Révolution mais sans qu'ils soient inséparables ou décidés officiellement pour désigner la Première République. Dans les clubs (Jacobins, Cordeliers), dans les documents officiels nationaux ou départementaux, sur les drapeaux des districts parisiens, on les trouve en association ou en alternance avec d'autres termes comme Union, Vertu, Justice, Raison, Humanité, Force, Loi, etc. Liberté et Égalité furent les plus usités mais Fraternité demanda plus de temps et d'efforts : comment le jacobin ou le sans-culotte pouvait-il accepter d'être frère du noble ou du prêtre ? Pour une étude documentée de l'émergence de la devise républicaine, voir Études et leçons sur la Révolution Française d'Alphonse Aulard (1910), disponible en intégralité.
2. Quelques exemples
A Paris, cinq églises conservent aujourd'hui des références républicaines :
- l'église Saint-Julien-le-Pauvre, à un jet de crucifix de la cathédrale Notre-Dame sur la rive gauche, présente, au-dessus de son entrée, un cartouche qui donne l'historique de l'église avec son inscription sous l'autorité de la République :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
LIBERTÉ - ÉGALITÉ - FRATERNITÉ
ADMINISTRATION GÉNÉRALE DE L'ASSISTANCE PUBLIQUE A PARIS
EGLISE SAINT-JULIEN-LE-PAUVRE
- dans le Marais (angle de la rue du Perche et de la rue Charlot), la petite cathédrale catholique arménienne Sainte-Croix possède deux "LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ" très effacés de part et d'autre de l'entrée. Ces marques ne sont pas la première épreuve qu'elle ait eu à subir : le couvent qui l'entourait a disparu à la Révolution.
- à la Chapelle Expiatoire, la devise "LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ" est très effacée et difficilement visible alors que l'inscription chrétienne et monarchique située au-dessus est parfaitement visible ;
- à l'église Notre-Dame-de-Lorette, l'inscription "LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ" est elle aussi en bien mauvais état. En entrant dans le temple, on découvre qu'y est conservée la porte de la cellule où fut enfermé l'abbé Sabattier pendant la Commune de 1871. On ne s'étonnera donc pas que l'état de la devise républicaine ne soit pas une priorité du curé.
- l'église Saint-Jean-Baptiste de Belleville, comme la cathédrale arménienne Sainte-Croix, possède deux fois la devise "LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ" au-dessus de chaque entrée, de part et d'autre du portail central. Mais, pour elle aussi, les deux marques sont très effacées.
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L'église Saint-Jean-Baptiste dans le quartier de Belleville à Paris et ses inscriptions au-dessus des entrées de gauche et de droite
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A Charenton-le-Pont dans le Val-de-Marne, l'église Saint-Pierre exhibe sans aucune dissimulation des inscriptions gravées durablement dans la pierre de la façade :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ
suivies d'un "PROPRIÉTÉ COMMUNALE" qui se passe de commentaire.
En restant en banlieue parisienne mais dans une commune diamétralement opposée, l'église d'Argenteuil a été marquée, elle aussi, d'une devise républicaine. "Liberté égalité fraternité" est gravé en caractères parfaitement lisibles au-dessus du portail d'entrée. La déchristianisation est une réalité à Argenteuil mais la laïcité ou l'athéisme n'y ont pas une grande responsabilité : c'est la remuante concurrence islamique qui réduit le christianisme à une curiosité du passé. L'islam, aujourd'hui, est omniprésent dans le centre aux abords de l'église : femmes voilées, pas de jupes (même durant le chaud mois d'août 2013), commerces halal et lieux de restauration halal à la clientèle essentiellement masculine et barbue.
La banlieue parisienne offre des contrastes sociologiques saisissants avec, quelques kilomètres au sud-ouest, un changement de profil complet à Rueil-Malmaison. Mais la Troisième République s'y fit sentir comme à Argenteuil : la devise Liberté Égalité Fraternité est peinte faiblement sur l'église Saint-Pierre Saint-Paul.
En Seine-Maritime, quatre églises doivent être comptées dans ce début d'inventaire :
- l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, à Sotteville-lès-Rouen, montre l'inscription assez effacée "RÉPUBLIQUE FRANÇAISE" au-dessus du porche d'entrée. Selon le site de la paroisse, "le conseil municipal décida que la devise républicaine « Liberté Egalité Fraternité » serait placée sur la façade de l'église" en 1881. Le temple catholique s'étire le long de la rue Francisco Ferrer, l'anarchiste espagnol fondateur de l'École moderne qui fut assassiné par une justice aux ordres de l'Eglise en 1909 à Barcelone.
- la commune de Montville, près de Rouen, offre un cas réellement remarquable qui doit irriter plus d'un adepte de la suprématie des lois dites divines. L'église affiche, sur son côté nord, aussi bien "RÉPUBLIQUE FRANÇAISE" que "LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ" et ces mots sont en parfait état, de très grandes dimensions, visibles de très loin. Les inscriptions auraient été apposées en 1887 d'après Wikipedia.
- l'église Saint-Vincent au Havre.
- l'église de Caudebec-lès-Elbeuf, comme Montville, cumule "RÉPUBLIQUE FRANÇAISE" et "LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ". L'édifice a aussi la particularité d'être bordé par la place Ernest-Renan. Un autre exemple est trouvé à Paris : la basilique du Sacré-Cœur est située rue du Chevalier de la Barre. Inscrire le nom d'un anticlérical historique comme adresse d'une église n'est pas un symbole anodin.
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Montville (Seine-Maritime)
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Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime), église Notre-Dame-de-l'Assomption
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Le Havre (Seine-Maritime), église Saint-Vincent
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Caudebec-lès-Elbeuf (Seine-Maritime)
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Dans l'Eure, quatre autres églises :
- à Ivry-la-Bataille, deux inscriptions sur le chevet, séparées d'un siècle, ont voulu rappeler que le bâtiment n'était pas la propriété privée de l'Église catholique :
LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ
immédiatement surmonté de
TEMPLE DE LA RAISON
ET DE LA PHILOSOPHIE
L'une comme l'autre sont en bon état.
- à Saint-André-de-l'Eure, ici encore sur le chevet, la devise républicaine "LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ" apparaît en très grandes lettres qui sont toutes en excellent état. Et l'église réserve une autre surprise, sur un transformateur électrique placé sur son côté.
- à Verneuil-sur-Avre, à l'église de La Madeleine, l'inscription est assez effacée et on ne devine que FRATERNITE, le reste étant masqué par un échaffaudage.
- à Chavigny-Bailleul, la devise républicaine est gravée dans la pierre ce qui lui assure une durée de vie plus longue.
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Ivry-la-Bataille (Eure)
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Verneuil-sur-Avre (Eure), église de La Madeleine
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Chavigny-Bailleul (Eure)
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Dans l'Eure-et-Loir, à Vernouillet près de Dreux, l'affirmation de la République est encore plus monumentale : l'inscription "REPUBLIQUE FRANÇAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE" est constituée de lettres métalliques en parfait état et solidement accrochées au mur de l'église. Devant l'église, trône la statue de Louis Nicolas Robert, inventeur de la machine à papier continu en l'an VI de la République.
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Vernouillet (Eure-et-Loir)
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Loix (Charente-Maritime)
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L'Île-de-Ré compte deux églises placées sous l'autorité de la République laïque :
- à Loix, les culs-bénits sont accueillis par :RF LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ
- même chose à La Couarde, au-dessus de l'entrée :RÉPUBLIQUE FRANÇAISE LIBERTÉ - ÉGALITÉ - FRATERNITÉ
En Gironde, à Bègles, les symboles de la République sont exprimés avec une force supplémentaire par l'exhibition du drapeau national. Celui-ci est installé au-dessus de l'entrée de l'église, en accompagnement des inscriptions "REPUBLIQUE FRANCAISE" et "LIBERTE EGALITE FRATERNITE". Une plaque apposée à gauche de l'entrée insiste encore sur le caractère républicain du lieu : en 1790, c'est dans cette église que son curé fut élu premier maire de la commune.
A quelques kilomètres de Tours, Montlouis-sur-Loire possède aussi son église aux accents républicains. On peut y lire : "LIBERTE EGALITE FRATERNITE" et "REPUBLIQUE FRANÇAISE". Trois autres communes de Touraine s'ajoutent à ce palmarès, situées à quelques kilomètres les unes des autres : Chémery, Saint-Aignan et Orbigny. L'église de la première possède une inscription monumentale en excellent état ; elle mérite donc une visite.
3. Recensement
Grâce aux indications de plusieurs personnes, ainsi qu'à des recherches sur internet, voici une tentative de recensement avec 153 églises catholiques marquées du sceau de la République. Pour 33 d'entre elles il n'en existe qu'une image en carte postale ancienne (CPA, croix bleues dans la carte ci-dessous), et pour une autre il s'agit d'un projet (croix verte) : le nombre d'églises comportant actuellement une inscription républicaine est donc de 119 (croix noires). Leur abondance apparaît très élevée près de la Méditerranée alors qu'on n'en trouve aucune en Bretagne.
L'inscription la plus fréquemment rencontrée est le tryptique "Liberté Égalité Fraternité", suivi par "République Française". Au contraire, on n'observe qu'une seule occurence d'une date ("1789" à Vinça dans les Pyrénées-Orientales), et une seule d'un dessin, la figure de Marianne coiffée d'un bonnet phrygien (La Redorte, Aude). Une curiosité régionale concerne une autre inscription : "Propriété communale" apparaît majoritairement (les deux-tiers) dans l'Aude et l'Hérault. Dans ce cas, il ne s'agit pas seulement d'inscrire le temple catholique dans la symbolique républicaine, il faut aussi affirmer que la pierre n'est plus la possession de l'Église catholique mais qu'elle appartient à la cité. "Propriété nationale", "D[omai]ne C[ommu]nal", "Bâtiment communal" et "Édifice public" proclament aussi cette appropriation.
Certains départements montrent une homogénéité trop forte pour être fortuite : les cinq églises de l'Eure (27) comme les sept du Lot-et-Garonne (47) comportent exclusivement "Liberté Égalité Fraternité", tandis que les cinq de l'Indre (36) affichent uniquement "République Française".
Bilan :
Carte :
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Liste par département :
Département | Ville> |
02 Aisne | Jeancourt |
03 Allier |
Commentry (CPA),
Domérat,
Meaulne (CPA),
Pierrefitte-sur-Loire
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08 Ardennes | Boutancourt |
10 Aube | Sainte-Savine (CPA de Jean-Bernard Lalaux) |
11 Aude |
Bizanet,
Blomac,
Boutenac (CPA),
Canet d'Aude (CPA),
Conilhac-Corbières,
Espéraza,
La Redorte,
Leucate,
Montredon-des-Corbières,
Moussan,
Moux,
Ornaisons,
Pradelles-en-Val,
Saint-Marcel-sur-Aude,
Sigean (CPA),
Talairan.
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12 Aveyron | Grand-Vabre |
13 Bouches-du-Rhône | Auriol, Lamanon, Rognes, Graveson |
16 Charente | Cognac |
17 Charente-Maritime | La Couarde et Loix sur l'Île-de-Ré, Rochefort |
18 Cher |
Vailly-Sur-Sauldre,
Massay (CPA)
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23 Creuse | Ahun (CPA) |
27 Eure |
Chavigny-Bailleul,
Ivry-la-Bataille,
Pacy-sur-Eure (CPA),
Saint-André-de-l'Eure,
Verneuil-sur-Avre |
28 Eure-et-Loir |
Lamblore (CPA),
Vernouillet
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30 Gard |
Aimargues,
Beaucaire,
Bessèges,
Comps,
Congénies (histoire et CPA),
Meynes,
Pompignan,
Saint-Gilles (CPA),
Saint-Laurent-d'Aigouze (CPA)
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31 Haute-Garonne | Franquevielle |
33 Gironde | Bègles |
34 Hérault |
Cessenon (CPA),
Cournonterral (CPA),
Cruzy,
Gigean (photo J-F Percy),
Le Pouget,
Maureilhan,
Mèze (photo J-F Percy avant la restauration de 2021),
Montbazin (CPA),
Montferrier-sur-Lez,
Nizas (CPA),
Olonzac,
Palavas (CPA),
Pézenas,
Saint-André-de-Sangonis,
Tourbes
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36 Indre |
Châteauroux (église Saint-André et CPA de l'église Saint-Christophe),
Issoudun (CPA),
Saint-Marcel,
Villedieu-sur-Indre
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37 Indre-et-Loire |
La Chapelle-sur-Loire,
Orbigny,
Montlouis-sur-Loire,
Pernay (historique et CPA)
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39 Jura | Saint-Aubin |
40 Landes | Monget (merci au maire Christian Guichené : vue générale, détail) |
41 Loir-et-Cher |
Chémery,
Onzain (CPA),
Saint-Aignan
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43 Haute-Loire | Lempdes-sur-Allagnon |
45 Loiret |
Autry-le-Châtel (une inscription sur le fronton et une autre),
Courtenay (CPA),
Saint-Denis-de-l'Hôtel (CPA de Jean-Bernard Lalaux)
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47 Lot-et-Garonne |
Agen (église Sainte-Foy et église Saint-Hilaire, côté gauche et côté droit),
Barbaste,
Casteljaloux,
Houeillès,
Le Passage d'Agen,
Sainte-Bazeille (façade et côté nord)
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58 Nièvre |
Donzy,
Moulin-Engilbert (CPA)
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59 Nord |
Marchiennes (photo de Daniel Dubois, inscription de 1903),
Haubourdin (CPA)
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60 Oise | Berthecourt |
66 Pyrénées-Orientales |
Elne,
Collioure,
Le Boulou (CPA),
Villeneuve-de-la-Raho (photo J-F Percy mais inscription disparue après ravalement de la façade, CPA),
Villelongue-dels-Monts (et une inscription disparue en CPA),
Vinça (fronton républicain apposé en 1905 et restauré en 2012) |
69 Rhône | Givors |
75 Paris | église Saint-Julien-le-Pauvre, cathédrale catholique arménienne Sainte-Croix, Chapelle Expiatoire, église Notre-Dame-de-Lorette, église Saint-Jean-Baptiste de Belleville (ici et là) |
76 Seine-Maritime | Le Havre (église Saint-Vincent), Montville (photo et histoire de l'inscription placée en 1887 et restaurée en 2006), Sotteville-lès-Rouen, Caudebec-lès-Elbeuf |
77 Seine-et-Marne | Champs-sur-Marne, Villeneuve-sur-Bellot |
78 Yvelines | Septeuil (projet) |
79 Deux-Sèvres | Sainte-Verge |
81 Tarn |
Florentin,
Gaillac (CPA)
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82 Tarn-et-Garonne |
Moissac (église Saint-Jacques, côté gauche et côté droit),
Valence d'Agen (façade et arrière côté gauche et côté droit de l'église)
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83 Var |
Aups,
Barjols,
Cotignac (photo de Bernard),
Entrecasteaux,
La Roquebrussanne,
Puget-Ville,
Salernes,
Vidauban (CPA),
Villecroze
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84 Vaucluse |
Bédarrides,
Carpentras (cathédrale, photo de Philippe Floret),
Caumont-sur-Durance,
L'Isle-sur-Sorgue,
Morières-lès-Avignon,
Mornas,
Pertuis,
Saint-Saturnin-les-Apt,
Vaison-la-Romaine,
Villes-sur-Auzon (vue générale et détail, photos de Philippe Floret)
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88 Vosges | Darney |
89 Yonne | L'Isle-sur-Serein |
92 Hauts-de-Seine |
Rueil-Malmaison (Liberté, Égalité, Fraternité),
Vaucresson (CPA)
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93 Seine-Saint-Denis |
Bagnolet (CPA),
Le Bourget (CPA)
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94 Val-de-Marne |
Charenton-le-Pont,
Choisy-le-Roi,
Villeneuve-Saint-Georges (CPA)
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95 Val d'Oise |
Argenteuil,
Avernes,
Soisy-sous-Montmorency
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Merci à J. F. Percy pour sa contribution à cette liste et l'envoi de nombreuses photographies.
Voir aussi d'autres informations sur le patrimoine laïque dans le sud-est de la France sur Laïcité Midi : laicite.biz.
Si vous connaissez une église ornée d'une inscription républicaine ou révolutionnaire (culte de la Raison ou de l'Être suprême), ou si des liens sont invalides, vous pouvez l'indiquer sur cette page. Merci beaucoup.
Page en constante évolution.
Première publication : 17 juin 2010.
Dernière mise à jour : 25 juin 2022.
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